Malgré certaines ressemblance topologiques aux circuits à lampes, l’amplificateur Thesis Omega doit avant tout être considéré comme l’archétype même de l’amplificateur de puissance à transistors qui a surmonté l’écueil d’un son froid et déshumanisé – adjectifs souvent employés pour qualifier les performances des amplificateurs à transistors classiques.

Le constructeur pense que relier les enceintes aux amplificateurs en couplage RC (Résistance-Condensateur) plutôt qu’en couplage DC (continu) donne des résultats beaucoup plus naturels, moins “hachés” au niveau des harmoniques. Libérés des contraintes de coûts de la gamme Obelisk, leurs ingénieurs ont pu réaliser sans aucun compromis la mise en œuvre de cette topologie sur le Thesis Omega.

Grâce à une alimentation surdimensionnée, et, à l’inverse des amplificateurs à tubes, l’amplificateur Thesis Omega est extrêmement stable même sur des charges d’impédance difficiles – Il est en mesure de délivrer jusqu’à 160 W en continu et peut supporter des charges d’impédance jusqu’à 1,6 Ohm. Vous pourrez ainsi alimenter la plupart des enceintes du marché, à l’exception de celles possédant un rendement très bas.

En résumé, l’amplificateur Thesis Omega représente une sorte l’alchimie quasi parfaite entre la stabilité d’un amplificateur à transistors et la finesse et le “grain” unique délivrés par des amplificateurs à tubes de type 300B triodes.

• Transcap – technologie de condensateur de sortie pour des capacités musicales uniques.
• Puissance importante allant jusqu’à 160 watts
• Excellente gestion de l’impédance jusqu’à 1,6 Ohms
• Des composants surdimensionnés et une conception rigoureuse pour plus de fiabilité.